Cette version de navigateur n'est plus prise en charge par nous.

Veuillez basculer vers un navigateur actuel afin de pouvoir utiliser le site Web sans restrictions.

close
callemail
call
Downloads
  • de en fr dk pl cn au br es de
  • Chargement...
  • Recherche

  • ACCUEIL
  • Solutions
    • Désenfumage

      D+H sauve des vies humaines et protège les biens matériels. En tant qu’un des principaux fournisseurs mondiaux de solutions de désenfumage.

      Désenfumage
    • Désenfumage mécanique

      Sur la base d'une expertise et d'une technologie perfectionnée, nous réalisons des solutions complexes de désenfumage mécanique.

      Désenfumage mécanique SDM
    • Ventilation VNC

      Nos systèmes de ventilation complets constituent la solution moderne et économique pour améliorer le confort de travail et de vie.

      Ventilation VNC
    • Ventilation saine

      Le risque d’infection baisse significativement dans les pièces dotées de ventilation naturelle.

      Ventilation saine
    • DENFC

      D+H offre une protection certifiée en cas d’incendie. En tant que principal fournisseur de solutions DENFC conformes aux normes.

      DENFC
    • Désenfumage de cage d’ascenseur

      Économique et confortable. Des solutions ultramodernes pour le désenfumage de cage d’ascenseur proposées par BK-Factory, coentreprise de D+H.

      Désenfumage de cage d’ascenseur
    • Communication par bus

      Communication par bus orientée vers l'avenir. AdComNet et ACB – le réseau de communication efficace pour les scénarios de désenfumage et de ventilation complexes.

      Communication par bus
    • Désenfumage 230 V

      Réduit les frais de câblage. La solution de désenfumage 230 V de D+H allie parfaitement puissance et efficacité.

      Désenfumage 230 V
    • Systèmes de coupole d’éclairage

      Combine un désenfumage sûr à une ventilation moderne. Solutions de coupole d’éclairage confortables de D+H.

      Systèmes de coupole d’éclairage
  • Maintenance
    • Assistance à la planification
      • Aide à la planification
      • Prestations
      • Logiciels
      • Contact
      • Connaissances
      • Téléchargement
    • Montage
      • Installation
      • Innovations
      • Solutions de montage
      • Referenzen
      • Moteurs de fenêtre
      • Savoir-faire
      • Téléchargements
    • Prestations pour les bâtiments
      • Maintenance
      • Prestations
      • Contrat de maintenance
      • Outils de maintenance
  • Produits
  • THÈMES
    • Incliné
    • Toujours plus haut
    • Fenêtres + acoustique
    • Qualité
    • Avenir
    • Atmosphère
  • Carrière
    • Employeur

      D+H associe la proximité d'une entreprise familiale régionale aux opportunités professionnelles d'un acteur mondial.

      Employeur
    • Offres d’emploi

      Nouvelles perspectives avec D+H. Nous proposons des emplois attrayants et passionnants pour les étudiants aux professionnels expérimentés. Et cela dans le monde entier.

      Offres d’emploi
    • Formation

      D+H offre diverses possibilités de formation. Et une très bonne chance d'être repris par la suite dans l'entreprise.

      Formation
  • Groupe
    • Entreprise
      • Profil
      • Sites
      • Production
      • Historique
      • Salons & événements
      • Distinctions
    • Responsabilité
      • Marque
      • Valeurs
      • Qualité
      • Développement durable
      • Engagement
    • Références
      • Galerie
      • Liste
    • Presse
      • Communiqués de presse
      • Publications
    • Contact
      • Siège principal
      • Distribution
      • Achat

    Produktkatalog

    • Catalogue des produits Moteurs + Consoles
    • Catalogue des produits Commandes + Périphériques

    Produit recommandé

    CDC-0252-0800-1-ACB

    Révolution de la technique de motorisation : grâce à la technologie bus ACB, le boîtier à chaîne CDC-0252-0800-1-ACB d’une course de 800 mm s’intègre...

    Voir le produit 

    CPS-M1-S

    Centrale de désenfumage entièrement modulaire : équipée des technologies D+H ACB et AdComNet, la CPS-M1-S constitue notre projet de développement...

    Voir le produit 

    RT 45

    L’Organe de Sécurité à Manipuler Type RT 45 sert au déclenchement et à la réinitialisation des systèmes de désenfumage. Les éléments d’affichage de...

    Voir le produit 

    SNT 2

    Intégré en boîtier tubulaire : le SNT 2 commande des moteurs 24 V avec l’électricité fournie par l’alimentation secteur.

    Voir le produit 
  • Moteurs
    • Boîtiers à chaîne (35)
    • Vérins à crémaillère (15)
    • Moteurs spéciaux (11)
    • Système de coupole d’éclairage (2)
  • Commandes
    • Commandes de désenfumage (24)
    • Commande de SDM (1)
    • Communication par bus (5)
    • Extensions de fonctions (46)
    • Commandes de ventilation

      (6)
  • Détecteurs et commande
    • Organe de Sécurité à Manipuler Type RT 45 (10)
    • Boutons de ventilation (11)
    • Commandes radio de fenêtre (5)
    • Système de capteurs (9)
    • Transmetteur de signal (1)
    • Ecran tactile (3)
  • Accessoires
    • Blocs d’alimentation (6)
    • Alimentation électrique de secours (7)
    • Boîtiers (9)
    • Système de capteurs (5)
  • D+H Downloads

    D+H Downloads

    D+H Downloads

    Téléchargements

    Finden Sie Ihr passendes Dokument zu unseren Produkten schnell und einfach, 24/7.

    Find the document you need for our products quickly and easily, 24/7.

    Trouvez le document dont vous avez besoin. Rapidité et précision : 24h/24 et 7j/7

    Find det dokument, du har brug for. Hurtigt og nøjagtigt: 24/7

  • Start
  • THÈMES
  • Avenir

Avenir

Prédire l’avenir avec des garanties

Un saut dans le « connu ».

Michio Kaku est un physicien et un prévisionniste réputé, mais il est avant tout un optimiste. Pour lui, l’avenir n’est absolument pas source d’angoisse. En effet, il a analysé les prédictions d’il y a 50, 70 ou 100 ans et les événements qui se sont réellement produits. Son constat : les prédictions des chercheurs étaient toujours justes lorsqu’ils amélioraient des technologies déjà en place et éprouvées et lorsqu’ils les tournaient vers l’avenir.

Par conséquent, notre avenir sera d’autant plus agréable si nous parvenons à poursuivre ces avancées appropriées de manière cohérente. Ce constat étant parfaitement aligné avec la philosophie de D+H, nous envisageons nous aussi l’avenir avec un grand optimisme. Quelle est la vision des architectes et des scientifiques ? Leur vision de notre future forme de cohabitation est palpitante, fascinante et bluffante ; en bref, digne d’intérêt.

Architecture

Sur quelles bases pouvons-nous bâtir ?

Ce que les projets de construction du futur peuvent offrir et ce qu’ils doivent garantir.

  • L’utilité prend le pas sur la beauté
  • Une architecture associée à une date d’expiration

Dès 1901, l’architecte autrichien Adolf Loos décrivait ainsi la fonction sociétale de l’architecture : « La maison doit plaire à tout le monde. C’est ce qui la distingue de l’œuvre d’art, qui n’est obligée de plaire à personne. L’œuvre d’art est l’affaire privée de l’artiste. La maison n’est pas une affaire privée. » Cette approche pragmatique s’est imposée comme un fil rouge tout au long du XXe siècle, d’autant plus que l’architecture devait tenir compte de l’urbanisation croissante. La conception d’immeubles avec ossature en acier et l’ascenseur électrique ont permis de construire des bâtiments si hauts qu’ils « grattaient » littéralement le ciel. À partir de cette époque, l’architecture allait être marquée par le progrès technologique ainsi que par de nouveaux matériaux tels que l’acier, le béton, le verre, l’aluminium et le plastique.

Les noms des différents styles liés à l’Architecture moderne, comme la Nouvelle Objectivité ou le Rationalisme, indiquent que l’utilité prenait déjà le pas sur l’esthétique. Dès lors, une maison avait avant tout une fonction : être pratique pour tous. Entre les années 50 et 70, l’approche radicale et formelle est poussée à l’extrême avec un mouvement stylistique au nom évocateur : le Brutalisme.

De nos jours, les bâtiments fonctionnels massifs utilisant des matériaux en partie nocifs pour l’environnement ne sont plus du tout une option pour la construction urbaine. La dégradation de la situation de la planète a rendu nécessaire un changement de paradigme. L’habitat est de moins en moins une affaire privée. Il fait appel à de nouvelles visions en matière de cohabitation pour l’avenir. Le côté fonctionnel et le rationalisme ne sont pas oubliés au XXIe siècle, mais ils sont abordés sous des angles légèrement différents. Désormais, l’architecture tient compte non seulement des besoins des Hommes, mais aussi de ceux de la nature.

L’architecture du futur met l’accent sur le développement durable. Deux projets ambitieux à Pékin et à Moscou illustrent parfaitement cette évolution. Dans la métropole chinoise, le bureau d’architectes britannique Orproject conçoit un jardin couvert gigantesque destiné à offrir un peu de détente aux habitants noyés dans le nuage de pollution. Dans la capitale russe, l’entreprise new-yorkaise Diller Scofidio + Renfro veut réunir des formes végétales et des zones climatiques variées en prônant le concept de « Wild Urbanism » (urbanisme sauvage). Ces deux projets ne sont pas sans rappeler la philosophie de D+H : la « Building Atmosphere ».

Les projets de construction du futur ne peuvent plus se permettre d’écraser la nature. Au contraire, ils doivent l’intégrer. Par conséquent, les scientifiques cherchent à concevoir des matériaux de construction végétaux. Des matières plastiques biologiques sont déjà fabriquées à partir de matières premières renouvelables au lieu de pétrole. Ces polymères résistants pouvant être associés à l’impression 3D peuvent être transformés à un prix avantageux. De plus, ils sont biodégradables et recyclables. L’innovation de l’entreprise américaine Ecovative semble également révolutionnaire. Son matériau de construction et de conception repose sur des champignons. Cette substance semblable à du polystyrène est obtenue à partir de déchets agricoles comme des chaumes de maïs. 

Le bureau d’architectes new-yorkais « The Living » travaille d’ores et déjà sur un projet visant à ériger une tour entièrement composée de mousse fongique et de compost. Par ailleurs, le bureau d’architectes new-yorkais dlandstudio peut parfaitement imaginer des jardins composés de mousse et d’éponges. Ces jardins d’éponges ont pour objectif d’absorber la pollution environnementale sans usage de produits chimiques. Des essais ont déjà été entrepris dans le canal de Gowanus, à New York. Les champignons, les algues et autres matériaux naturels s’inscrivent non seulement en opposition à la production de masse, mais ils permettent également de concevoir des bâtiments biodégradables. Une idée pleine d’audace : des immeubles associés à une date d’expiration.

Quoi qu’il arrive, nous ne pourrons pas nous passer de gratte-ciel dans un avenir proche. Ils représentent la solution la plus efficace pour lutter contre le manque de place dans les villes. Alors s’ils sont hauts, autant qu’ils soient composés de matériaux biologiques. C’est sans doute ce que se sont dit les deux architectes suédois C. F. Møller et Dinnell Johansson. Ils souhaitent construire d’ici 2023 un immeuble de 34 étages entièrement en bois dans le centre de Stockholm. La protection incendie revêtira sans doute un aspect important. Les deux architectes auront probablement recours aux technologies de D+H.

Les responsables produit de D+H travaillent au quotidien sur des solutions destinées à préparer les maîtres d’ouvrage pour l’avenir. Ce faisant, les systèmes numériques et modulaires sont particulièrement mis en avant. Ils constituent une technologie intelligente qui « pense », par exemple en matière de ventilation et de protection acoustique ou solaire. Ces thèmes sont importants, en particulier dans les immeubles de grande hauteur. Atout non négligeable : les solutions s’intègrent en toute discrétion dans les bâtiments. Par exemple, le nouveau CDC-0252 de D+H est un expert du camouflage car il est intégré au profilé. Il peut ouvrir et fermer les fenêtres de manière invisible et presque sans le moindre bruit.

  • L’utilité prend le pas sur la beauté

    Dès 1901, l’architecte autrichien Adolf Loos décrivait ainsi la fonction sociétale de l’architecture : « La maison doit plaire à tout le monde. C’est ce qui la distingue de l’œuvre d’art, qui n’est obligée de plaire à personne. L’œuvre d’art est l’affaire privée de l’artiste. La maison n’est pas une affaire privée. » Cette approche pragmatique s’est imposée comme un fil rouge tout au long du XXe siècle, d’autant plus que l’architecture devait tenir compte de l’urbanisation croissante. La conception d’immeubles avec ossature en acier et l’ascenseur électrique ont permis de construire des bâtiments si hauts qu’ils « grattaient » littéralement le ciel. À partir de cette époque, l’architecture allait être marquée par le progrès technologique ainsi que par de nouveaux matériaux tels que l’acier, le béton, le verre, l’aluminium et le plastique.

    Les noms des différents styles liés à l’Architecture moderne, comme la Nouvelle Objectivité ou le Rationalisme, indiquent que l’utilité prenait déjà le pas sur l’esthétique. Dès lors, une maison avait avant tout une fonction : être pratique pour tous. Entre les années 50 et 70, l’approche radicale et formelle est poussée à l’extrême avec un mouvement stylistique au nom évocateur : le Brutalisme.

    De nos jours, les bâtiments fonctionnels massifs utilisant des matériaux en partie nocifs pour l’environnement ne sont plus du tout une option pour la construction urbaine. La dégradation de la situation de la planète a rendu nécessaire un changement de paradigme. L’habitat est de moins en moins une affaire privée. Il fait appel à de nouvelles visions en matière de cohabitation pour l’avenir. Le côté fonctionnel et le rationalisme ne sont pas oubliés au XXIe siècle, mais ils sont abordés sous des angles légèrement différents. Désormais, l’architecture tient compte non seulement des besoins des Hommes, mais aussi de ceux de la nature.

    L’architecture du futur met l’accent sur le développement durable. Deux projets ambitieux à Pékin et à Moscou illustrent parfaitement cette évolution. Dans la métropole chinoise, le bureau d’architectes britannique Orproject conçoit un jardin couvert gigantesque destiné à offrir un peu de détente aux habitants noyés dans le nuage de pollution. Dans la capitale russe, l’entreprise new-yorkaise Diller Scofidio + Renfro veut réunir des formes végétales et des zones climatiques variées en prônant le concept de « Wild Urbanism » (urbanisme sauvage). Ces deux projets ne sont pas sans rappeler la philosophie de D+H : la « Building Atmosphere ».

  • Une architecture associée à une date d’expiration

    Les projets de construction du futur ne peuvent plus se permettre d’écraser la nature. Au contraire, ils doivent l’intégrer. Par conséquent, les scientifiques cherchent à concevoir des matériaux de construction végétaux. Des matières plastiques biologiques sont déjà fabriquées à partir de matières premières renouvelables au lieu de pétrole. Ces polymères résistants pouvant être associés à l’impression 3D peuvent être transformés à un prix avantageux. De plus, ils sont biodégradables et recyclables. L’innovation de l’entreprise américaine Ecovative semble également révolutionnaire. Son matériau de construction et de conception repose sur des champignons. Cette substance semblable à du polystyrène est obtenue à partir de déchets agricoles comme des chaumes de maïs. 

    Le bureau d’architectes new-yorkais « The Living » travaille d’ores et déjà sur un projet visant à ériger une tour entièrement composée de mousse fongique et de compost. Par ailleurs, le bureau d’architectes new-yorkais dlandstudio peut parfaitement imaginer des jardins composés de mousse et d’éponges. Ces jardins d’éponges ont pour objectif d’absorber la pollution environnementale sans usage de produits chimiques. Des essais ont déjà été entrepris dans le canal de Gowanus, à New York. Les champignons, les algues et autres matériaux naturels s’inscrivent non seulement en opposition à la production de masse, mais ils permettent également de concevoir des bâtiments biodégradables. Une idée pleine d’audace : des immeubles associés à une date d’expiration.

    Quoi qu’il arrive, nous ne pourrons pas nous passer de gratte-ciel dans un avenir proche. Ils représentent la solution la plus efficace pour lutter contre le manque de place dans les villes. Alors s’ils sont hauts, autant qu’ils soient composés de matériaux biologiques. C’est sans doute ce que se sont dit les deux architectes suédois C. F. Møller et Dinnell Johansson. Ils souhaitent construire d’ici 2023 un immeuble de 34 étages entièrement en bois dans le centre de Stockholm. La protection incendie revêtira sans doute un aspect important. Les deux architectes auront probablement recours aux technologies de D+H.

    Les responsables produit de D+H travaillent au quotidien sur des solutions destinées à préparer les maîtres d’ouvrage pour l’avenir. Ce faisant, les systèmes numériques et modulaires sont particulièrement mis en avant. Ils constituent une technologie intelligente qui « pense », par exemple en matière de ventilation et de protection acoustique ou solaire. Ces thèmes sont importants, en particulier dans les immeubles de grande hauteur. Atout non négligeable : les solutions s’intègrent en toute discrétion dans les bâtiments. Par exemple, le nouveau CDC-0252 de D+H est un expert du camouflage car il est intégré au profilé. Il peut ouvrir et fermer les fenêtres de manière invisible et presque sans le moindre bruit.

Interview

Des bâtiments qui deviennent de véritables icônes

Entretien avec Wolf D. Prix de COOP HIMMELB(L)AU.

La « PANEUM – Salle des curiosités du pain » située en Autriche est un bon exemple d’architecture futuriste. Le bâtiment a été conçu par les architectes viennois de COOP HIMMELB(L)AU. M. Wolf D. Prix, directeur général et responsable du design, a répondu à quelques questions sur l’architecture du futur lors de l’inauguration officielle du bâtiment.

QUELS SONT LES PLUS GROS DÉFIS EN MATIÈRE D’ARCHITECTURE ?

Wolf D. Prix: Si l’on souhaite continuer à être compétitif à l’avenir, il faudra être à la recherche de nouvelles méthodes de construction. En Chine et en Inde, nous utilisons déjà des robots pour la construction de façades. L’utilisation de machines est extrêmement économique et efficace, mais elle soulève des questions majeures sur le plan social. Si aujourd’hui, la construction d’un

bâtiment nécessite l’intervention de 80 personnes et huit mois de travail, l’utilisation de robots à l’avenir permettra peut-être d’ériger le même bâtiment en un mois et en faisant intervenir huit personnes seulement. Que faire des 72 personnes restantes ? On évoque souvent les problèmes, mais on réfléchit beaucoup trop rarement à des solutions. Une grande partie de la population s’oppose à ce progrès pour des raisons idéologiques et pour des raisons de compréhension. Néanmoins, nous devons absolument aborder cette transition avec audace.

INTÉRESSONS-NOUS MAINTENANT AUX NOUVELLES MÉTHODES DE CONSTRUCTION. COMMENT TRAVAILLENT LES ARCHITECTES DU FUTUR ?

Wolf D. Prix : Je crois que l’architecture sera marquée par l’impression et le fraisage 3D et par la construction à l’aide de robots dans les années à venir. Aujourd’hui déjà, les ordinateurs donnent le tempo. Nous sommes en mesure de mettre en œuvre des programmes 3D et de produire des rendus. En général, les ordinateurs nous permettent de réfléchir plus rapidement. Je me souviens d’un projet à Los Angeles pour lequel il a fallu deux mois pour la conception architecturale, alors qu’aujourd’hui, un seul jour suffit. Au sein de notre secteur, nous devrons nous concentrer davantage sur cette avancée, à peine perceptible de l’extérieur.

QUELS MATÉRIAUX SERONT DOMINANTS À L’AVENIR ?

Wolf D. Prix : Les défis posés par l’économie et l’écologie sont des aspects déterminants. Mais quels sont les matériaux naturels au juste ? La brique, la terre glaise ? Aujourd’hui, l’impression 3D nous permet de construire à partir de nombreux matériaux des façades permettant non seulement d’économiser de l’énergie, mais ayant aussi un effet urbanistique et ayant déjà implémenté des films à énergie solaire et des éléments d’ombrage. Selon moi, l’idée que l’on ne construira à l’avenir plus qu’en bois n’est pas réaliste. Combien de temps un arbre met-il pour grandir suffisamment pour pouvoir être utilisé dans la construction ? De plus, les artisans du bois n’auront plus de possibilités de développement si nous ne concevons plus que des granges en bois et des maisons en rondins. Cependant, nous pouvons commencer à réfléchir autrement, et en ce sens, la PANEUM est un prototype.

Plus

DANS QUELLE MESURE LA « PANEUM – SALLE DES CURIOSITÉS DU PAIN » EST-ELLE UN MODÈLE D’ARCHITECTURE FUTURISTE ?

Wolf D. Prix : De nombreuses personnes déclarent que la PANEUM les fait penser à une miche de pain ou à un nuage. Cela n’a jamais été mon intention. Avec ce bâtiment, je voulais réaliser quelque chose de particulier, et nous y sommes parvenus.

La partie supérieure autoportante est constituée de composants en bois tridimensionnels fraisés par usinage CNC et préfabriqués au millimètre près, puis délicatement assemblés. Les surfaces rugueuses des couches de panneaux contrecollés utilisées créent une atmosphère particulière à l’intérieur et renforcent l’effet de la salle des curiosités. L’extérieur de la construction en bois est entouré d’environ 3 000 bardeaux en acier inoxydable. Avec la PANEUM, nous avons conçu la première construction en bois autoportante au monde pesant, avec l’acier, aussi lourd que deux Airbus.

Avec son esthétique inhabituelle, le bâtiment prouve que l’on peut créer et réaliser des formes libres en bois. La construction a nécessité beaucoup de travail de réflexion et aurait probablement pris 100 ans si l’on avait tout fait manuellement. Il faut bien avouer qu’en architecture, on ne pourra jamais entièrement remplacer le travail manuel. C’est bien lui qui a permis de créer en premier lieu l’émotion du bâtiment, et ce via de nombreux croquis préalables.


À QUOI RESSEMBLE L’ARCHITECTURE DU FUTUR ?

Wolf D. Prix : Grâce aux nouvelles méthodes de construction, nous serons en mesure de créer des formes et des figures complexes offrant une expérience inédite en matière d’architecture. En effet, seules de nouvelles géométries transforment les bâtiments en icônes. J’utilise d’ailleurs bien plus volontiers le mot « configuration » que le mot « forme ». Une configuration est la résultante de la combinaison entre programme, contenu et forme architecturale, et vient incarner un sentiment. La fonction émotionnelle des bâtiments a considérablement progressé au cours des dernières décennies et elle est très importante. En outre, l’architecture du futur a pour objectif – je vais dire quelque chose de risqué – de créer une sorte de refuge. Cela signifie que dans le réseau anonyme des villes, nous avons besoin de bâtiments lisibles, que l’on peut décrire, et auxquels les gens peuvent s’identifier, comme par le passé les palais, les églises et les établissements urbains. Cependant, ces bâtiments doivent aujourd’hui être démocratisés pour une société ouverte.

Développement durable

Faire du bleu à partir de vert

Les bâtiments bleus ont le vent en poupe.

En Allemagne, les bâtiments représentent près de 40 % de la consommation d’énergie et environ un tiers des émissions de CO2. En vue d’amorcer une transition vers des bâtiments plus écologiques, des systèmes d’évaluation des « bâtiments verts » ont été élaborés dans les années 90. Il existe désormais une multitude de systèmes de certification à travers le monde (LEED en Grande-Bretagne, BREEAM aux États-Unis, DGNB en Allemagne). Ces derniers tiennent non seulement compte de l’aspect écologique du bâtiment, mais aussi de ses aspects économiques et sociaux. On passe progressivement des bâtiments verts aux bâtiments bleus. L’homme est à nouveau au centre de la conception des bâtiments et l’on tient compte de la durabilité globale de l’édifice.

On qualifie aujourd’hui les produits et systèmes durables, très efficaces et préservant les ressources de « bleus ». « Le progrès technique et le développement durable ne doivent pas être en contradiction l’un avec l’autre », déclare Helmut Senfter, directeur de EvoBuilding GmbH, coentreprise de D+H. L’entreprise s’est spécialisée dans la conception de bâtiments bleus jusqu’à leur réalisation, en passant par la simulation dynamique. « Construire dans le respect de l’environnement ne signifie pas forcément construire une hutte en torchis avec un toit de paille. Il convient de développer des solutions garantissant la protection climatique sans pour autant renoncer au confort. »

La clé pour satisfaire aux exigences socioculturelles, écologiques et économiques en ce qui concerne les bâtiments bleus d’aujourd’hui consiste en une automatisation intelligente des bâtiments. Cette dernière permet une imbrication parfaite de tous les systèmes importants et un pilotage en amont. Ce faisant, l’élément central est souvent la ventilation naturelle à régulation de CO2 automatisée. Dans le cadre de la ventilation naturelle, le refroidissement du bâtiment est réalisé grâce au rafraîchissement nocturne, économe en énergie. Il y a quelques années, la climatisation et la ventilation mécanique étaient encore considérées comme des technologies de pointe. Du point de vue du développement durable, elles n’ont cependant aujourd’hui plus rien de rationnel. Elles font partie des plus gros consommateurs d’énergie dans un bâtiment. De plus, elles sont associées à un investissement et à des frais d’entretien élevés et contribuent souvent à l’inconfort des personnes. « L’architecture durable et tournée vers l’avenir se caractérise principalement par le fait qu’elle permet de concevoir un bâtiment aussi confortable que possible avec peu de ressources et d’énergie », poursuit Helmut Senfter.

Le système de ventilation naturelle automatisée repose sur les différences de pression. L’air chaud vicié monte vers le haut et il est évacué grâce une technologie thermique fonctionnant comme un moteur via les ouvertures du toit ou de la façade. Les moteurs d’ouverture et de fermeture de fenêtres entièrement automatiques de D+H offrent la garantie d’une atmosphère ambiante agréable à toute heure du jour ou de la nuit, en fonction des conditions météorologiques. « Cela s’applique à toutes les parties d’un bâtiment, étant donné que toutes les fenêtres d’un bâtiment peuvent être adaptées les unes aux autres et que des appareils de chauffage sont aussi raccordés à la commande d’air frais », indique Christoph Kern, responsable de la sécurité au sein de D+H Mechatronic AG. « Cela permet d’économiser jusqu’à 60 % d’énergie. »

Mobilité

Scotty, beam me up !

La science-fiction devient réalité.

« Scotty, téléporte-moi » – Grâce à la distorsion, le capitaine Kirk et son équipage de 400 hommes filent à toute allure dans la voie lactée ; ils contrôlent des planètes lointaines et se lancent dans de nombreuses aventures en se téléportant depuis leur vaisseau spatial. Régulièrement, le capitaine du vaisseau Enterprise consulte son communicateur sans fil rapidement repliable, communique avec l’ordinateur de bord ou lit des informations critiques pour la mission sur un petit appareil mobile. Bon nombre des technologies autrefois présentées dans les films de science-fiction semblaient utopiques. Lors de la première diffusion de la série Star Trek, le 8 septembre 1966, un tel progrès technique était encore inimaginable. Aujourd’hui, la plupart des technologies présentées dans ces films sont monnaie courante.

Les réalisateurs d’Hollywood, des précurseurs

Que l’on parle de déplacement à la vitesse de la lumière à travers la galaxie ou à bord de voitures volantes dans les mégapoles du futur, les technologies et les scénarios reflétant les moyens de déplacement du futur sont très appréciés des réalisateurs pour donner une idée de ce à quoi ressemblera notre vie dans plusieurs décennies. D’ailleurs, selon les scientifiques, les véhicules volants ne sont plus très loin d’être une réalité. Le prestataire de services de transport Uber travaille d’arrache-pied sur un projet de voitures volantes. L’entreprise américaine a même fondé une branche aérienne dédiée. Avec son équipe, M. Moore a pour objectif de présenter une version commercialisable de la voiture volante nommée Puffin d’ici 2020.

 

 

La téléportation de personnes devient possible

Lorsque Scotty téléporte le capitaine Kirk et son équipage vers des planètes inconnues, le rythme cardiaque de nombreux fans de science-fiction s’accélère. Les réalistes au contraire secouent souvent la tête. Ce serait pourtant agréable, s’il suffisait de monter dans un transporteur pour se trouver immédiatement dans son lieu de vacances favori. Ou pour un poseur, de se rendre sur un chantier en seulement quelques secondes. Pour l’ingénieur Hubert Zitt, il n’y a aucune raison de secouer la tête. Selon lui, si les avancées techniques se poursuivent au même rythme, nous pourrons nous téléporter dans environ 140 ans. Et si l’on observe l’évolution du stockage de données, cela ne semble pas si improbable, si l’on considère l’univers Star Trek. Depuis 25 ans, la capacité de stockage augmente chaque année d’environ 60 %. Les disques durs d’un téraoctet étaient encore particulièrement volumineux il y a quelques années ; aujourd’hui, ils sont devenus standard. Si l’on analyse cette évolution, on peut considérer qu’il est possible d’enregistrer les volumes de données qui constituent l’Homme, selon les enseignants-chercheurs de la Fachhochschule de Kaiserslautern.

Loisirs

Une poussée d’adrénaline extrême

Le volcano surfing, le highlining et le vol en wingsuit sont des activités d’avenir.

L’ère des loisirs ne fait que débuter. Un exemple, en Allemagne, le terme « Freizeit » (temps libre) n’est apparu dans le dictionnaire qu’en 1929. C’est un mot dont personne n’osait même rêver il y a encore 100 ans. La révolution industrielle avait traversé le pays et à cette époque, de nombreuses personnes n’avaient qu’une raison de vivre : le travail. Mais même si les ouvriers qui travaillaient jusqu’à l’épuisement ne pouvaient pas l’imaginer alors, leur travail allait servir d’embryon pour le temps libre obtenu par leurs successeurs. En effet, les avancées techniques ont progressé parallèlement aux heures travaillées. Ce progrès technique a également fait évoluer le niveau de vie, ainsi que le temps libre. Les bases de notre société et de notre économie actuelles étaient posées.

  • Dans les années 50 et 60, en Allemagne, le temps libre était encore essentiellement synonyme de repos, conformément au sens propre de « temps sans travail ». Toutefois, à partir des années 70, la population s’est tournée vers la consommation et vers les voyages. Le nouveau millénaire a connu une nouvelle transformation du monde du travail. Après l’automatisation, nous assistons désormais au passage au numérique.

  • Selon l’étude comparative allemande menée sur 5 ans intitulée « Freizeit-Monitors 2016 », nous assistons d’une part à l’explosion des nouveaux médias, et d’autre part au développement du sport. Les amateurs de sensations fortes à la recherche d’une poussée d’adrénaline extrême s’adonnent aujourd’hui à des loisirs tels que le volcano surfing, le highlining ou le vol en wingsuit.

  • L’entreprise de l’ingénieur en aéronautique canadien Aron Wypyszynski travaille actuellement sur le sport tendance de demain : le wingboarding. Il consiste à tenir debout sur une planche tractée par un avion, comme au ski nautique, mais dans l’air. Les progrès techniques ont rendu cette pratique possible.

Le progrès a fondamentalement transformé nos vies. Globalement, notre temps de travail est réduit de moitié par rapport à celui des travailleurs du XIXe siècle. Où mène cette évolution ? Le travail est-il un modèle obsolète ? Et le voulons-nous ? Lorsque nous aimons ce que nous faisons, le travail est un élément porteur de sens dans notre vie. Pouvoir se consacrer tout son temps à soi-même semble être une perspective intéressante, mais lorsqu’on dispose de quelque chose de façon illimitée, cela perd rapidement de l’intérêt. Il n’en va probablement pas autrement du temps libre. 

De nos jours, nous sommes de plus en plus nombreux à rechercher un équilibre dans la répartition travail-temps libre. L’équilibre entre vie professionnelle et vie privée est un mot-clé pris très au sérieux dans de nombreuses entreprises, dont D+H. Ainsi, chez D+H, la saisie du temps de travail et les horaires flexibles offrent aux employés la possibilité d’organiser leur temps de manière très flexible entre leur travail et leur vie de famille. 

1
2
3
4
5
6
7

Espace

En route pour Mars

Deviendrons-nous prochainement des martiens ?

La planète située à environ 270 millions de kilomètres est inspectée avec toujours plus de précision. L’idée de découvrir des habitants sur Mars a été abandonnée il y a bien longtemps. L’objectif est plutôt d’analyser les facteurs d’évolution qui nous ont permis de devenir des Hommes. Nous sommes bien déterminés à nous implanter sur Mars, que cela soit à cause du surpeuplement, de la destruction de notre environnement, de la crainte d’une guerre atomique ou par simple désir d’aventure. De nombreuses raisons nous poussent à aspirer à nous implanter sur une autre planète. Depuis 1960, environ 40 tentatives d’exploration de Mars avec des missions sans équipage ont été réalisées. Plus de la moitié a échoué. Malgré tout, l’un des derniers projets est porteur d’espoir. Le 6 août 2012, la sonde « Curiosity » s’est posée sur Mars avec pour objectif de rechercher des traces de carbone – la base de toute vie. Les conclusions de cette mission sont précieuses. Les produits chimiques trouvés dans les fissures présentes sur les rochers ont permis de conclure qu’il y avait jadis sur Mars beaucoup d’oxygène, et que pour cette raison, cette planète avait pu être très semblable à la Terre.

Par ailleurs, on a retrouvé de l’eau sur Mars. Il y fait en revanche trop froid et trop sec pour toute forme de vie. Les vents solaires créent des conditions tout à fait inhospitalières. En effet, contrairement à la Terre, Mars ne possède pas de champ magnétique protégeant l’atmosphère. Pour « terraformer » Mars, il faudrait donc avant tout une température plus élevée. Mais si l’Homme sait faire quelque chose, c’est bien réchauffer une planète. Les scientifiques de la NASA ont donc eu l’idée d’envoyer un gigantesque bouclier de protection magnétique destiné à assumer la fonction de champ magnétique dans l’espace. L’objectif est de provoquer ainsi une augmentation de la pression atmosphérique et de la température. Cela entraînerait une fonte de la calotte polaire située au Nord, et par conséquent la formation de fleuves et de mers. Cette idée semble être tirée d’un ouvrage de science-fiction, mais les ambitions sont énormes. Ainsi, en 2016, le président des États-Unis de l’époque, Barack Obama, annonçait que des astronautes se poseraient sur Mars d’ici 2035.

Automatisation

Vers l’apparition du Robo Sapiens ?

Entre angoisse et joie.

Dans de nombreux films et dans la littérature, les hommes considèrent les robots avec peur et scepticisme. Ces sentiments sont-ils fondés ? Les avis divergent. Les partisans des robots insistent sur les nombreux avantages d’une vie numérisée, tandis que leurs détracteurs mettent en garde contre les risques d’une intelligence artificielle autonome. Le fait est que les robots fournissent aujourd’hui une aide indispensable dans toutes sortes d’activités très monotones ou associées à des risques importants. Dans les systèmes de production entièrement automatiques, les bras mécaniques sont incontournables (dans l’industrie automobile, par exemple). Les robots de transport fournissent quant à eux une aide précieuse non seulement dans l’industrie, mais aussi sur les terrains dangereux ou instables. Ils sont particulièrement utiles lors de recherches dans des bâtiments effondrés ou lors d’opérations de déminage. L’astromobile « Curiosity » nous a même fourni des images de Mars.

Un avenir sans intelligence artificielle et sans automatisation semble inimaginable. Les entreprises tournées vers le progrès se doivent d’investir dans l’avenir ainsi que dans les technologies et les solutions de pointe fonctionnant avec de plus en plus d’autonomie. Avec le développement systématique de l’automatisation en production, D+H a déjà fait un pas important vers l’avenir en 2016. L’entreprise de taille moyenne a notamment investi dans un centre d’usinage de profilés ultramoderne. Ce dernier coupe, fraise et perce de manière entièrement automatique les boîtiers en aluminium des moteurs D+H – et ce en seulement quelques secondes. Cette nouvelle machine divise les temps de production par deux, convainquant ainsi les clients d’aujourd’hui mais aussi de demain.

Plus

Les robots s’intègrent toujours davantage dans notre quotidien. Il existe déjà des robots qui cuisinent et qui font le ménage, et même des robots qui jouent au football. Récemment, un américain a conçu un robot destiné à arracher les mauvaises herbes. Ce dernier accomplit sa mission en complète autonomie et de manière écologique, grâce à l’énergie solaire. Cependant, malgré tous les progrès, les mouvements des robots demeurent limités et ces derniers réalisent des tâches se limitant à un domaine bien défini. Pour que les hommes puissent considérer les robots comme de véritables collègues, ces derniers doivent avant tout être dotés d’une fonction d’auto-apprentissage. Les développeurs de logiciels y travaillent d’arrache-pied. Ils font en sorte que les robots collectent des données via des capteurs. Ces dernières leur permettent de reconnaître leur environnement et de réagir en cas d’imprévu. En outre, ils imitent déjà les mouvements humains. La collaboration entre hommes et robots n’est plus qu’une question de temps. Ainsi, un rapport publié en mai 2017 sur la plate-forme professionnelle « INGENIEUR.de » annonçait le développement d’un copilote robotisé par une compagnie aérienne américaine. Mais le monde des humains et celui des machines sont encore bien séparés. Il ne tient qu’à nous de maintenir ou non cette séparation.

Fenêtres + acoustique

Le son du futur

Plus d’infos

Formation

Entrée + promotion

Plus d’infos

Production

Qualité + précision

Plus d’infos
  • Contact
  • Nos sites
  • Newsletter
  • Catalogue
gps_fixed Siège principal
language Distribution
shopping_cart Achat
.

Partenaires commerciaux et de maintenance D+H

Un large réseau de partenaires commerciaux et de maintenance D+H vous garantit une planification et un conseil spécifiques à votre projet, un montage professionnel, un entretien minutieux et un approvisionnement sûr en pièces de rechange.

Choisissez votre pays et saisissez, si nécessaire, votre code postal:

False input
fr/accueil/
{"group-1":{"gtm":""},"group-16":{"gtm":"","cookie-16":{"body":["\u003C!-- Facebook Pixel Code --\u003E\r\n\u003Cscript\u003E\r\n!function(f,b,e,v,n,t,s)\r\n{if(f.fbq)return;n=f.fbq=function(){n.callMethod?\r\nn.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments)};\r\nif(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=\u00272.0\u0027;\r\nn.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0;\r\nt.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0];\r\ns.parentNode.insertBefore(t,s)}(window,document,\u0027script\u0027,\r\n\u0027https:\/\/connect.facebook.net\/en_US\/fbevents.js\u0027);\r\nfbq(\u0027init\u0027, \u00271858581750986313\u0027);\r\nfbq(\u0027track\u0027, \u0027PageView\u0027);\r\n\u003C\/script\u003E\r\n\u003Cnoscript\u003E\r\n\u003Cimg height=\u00221\u0022 width=\u00221\u0022\r\nsrc=\u0022https:\/\/www.facebook.com\/tr?id=1858581750986313\u0026ev=PageView\r\n\u0026noscript=1\u0022\/\u003E\r\n\u003C\/noscript\u003E\r\n\u003C!-- End Facebook Pixel Code --\u003E"]},"cookie-14":{"header":["\u003C!-- Facebook Pixel Code --\u003E\r\n\u003Cscript\u003E\r\n!function(f,b,e,v,n,t,s)\r\n{if(f.fbq)return;n=f.fbq=function(){n.callMethod?\r\nn.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments)};\r\nif(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=\u00272.0\u0027;\r\nn.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0;\r\nt.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0];\r\ns.parentNode.insertBefore(t,s)}(window,document,\u0027script\u0027,\r\n\u0027https:\/\/connect.facebook.net\/en_US\/fbevents.js\u0027);\r\nfbq(\u0027init\u0027, \u00271858581750986313\u0027);\r\nfbq(\u0027track\u0027, \u0027PageView\u0027);\r\n\u003C\/script\u003E\r\n\u003Cnoscript\u003E\r\n\u003Cimg height=\u00221\u0022 width=\u00221\u0022\r\nsrc=\u0022https:\/\/www.facebook.com\/tr?id=1858581750986313\u0026ev=PageView\r\n\u0026noscript=1\u0022\/\u003E\r\n\u003C\/noscript\u003E\r\n\u003C!-- End Facebook Pixel Code --\u003E"]}},"group-2":{"gtm":"","cookie-22":{"body":["\u003Cscript type=\u0022text\/javascript\u0022\u003E\r\n \/\/ Set to the same value as the web property used on the site\r\n var gaProperty = \u0027UA-36468616-1\u0027;\r\n \r\n \/\/ Disable tracking if the opt-out cookie exists.\r\n var disableStr = \u0027ga-disable-\u0027 + gaProperty;\r\n if (document.cookie.indexOf(disableStr + \u0027=true\u0027) \u003E -1) {\r\n window[disableStr] = true;\r\n }\r\n \r\n \/\/ Opt-out function\r\n function gaOptout() {\r\n document.cookie = disableStr + \u0027=true; expires=Thu, 31 Dec 2099 23:59:59 UTC; path=\/\u0027;\r\n window[disableStr] = true;\r\n }\r\n \r\n \/\/ Load GA\r\n (function(i,s,o,g,r,a,m){i[\u0027GoogleAnalyticsObject\u0027]=r;i[r]=i[r]||function(){\r\n (i[r].q=i[r].q||[]).push(arguments)},i[r].l=1*new Date();a=s.createElement(o),\r\n m=s.getElementsByTagName(o)[0];a.async=1;a.src=g;m.parentNode.insertBefore(a,m)\r\n })(window,document,\u0027script\u0027,\u0027\/\/www.google-analytics.com\/analytics.js\u0027,\u0027ga\u0027);\r\n \r\n ga(\u0027create\u0027, \u0027UA-36468616-1\u0027, \u0027auto\u0027);\r\n ga(\u0027set\u0027, \u0027forceSSL\u0027, true);\r\n ga(\u0027set\u0027, \u0027anonymizeIp\u0027, true);\r\n ga(\u0027send\u0027, \u0027pageview\u0027);\r\n \r\n setTimeout(\u0022ga(\u0027send\u0027,\u0027event\u0027,\u0027adjusted bounce rate\u0027,\u002715 seconds\u0027)\u0022,15000);\r\n \r\n \r\n\u003C\/script\u003E"]},"cookie-23":{"body":["\u003C!-- Global site tag (gtag.js) - Google Ads: AW-1070930447 --\u003E\r\n\u003Cscript async src=\u0022https:\/\/www.googletagmanager.com\/gtag\/js?id=AW-1070930447\u0022\u003E\u003C\/script\u003E\r\n\u003Cscript\u003E\r\n window.dataLayer = window.dataLayer || [];\r\n function gtag(){dataLayer.push(arguments);}\r\n gtag(\u0027js\u0027, new Date());\r\n\r\n gtag(\u0027config\u0027, \u0027AW-1070930447\u0027);\r\n\u003C\/script\u003E"]},"cookie-24":{"body":["\u003Cscript src=\u0022\/\/www.googleadservices.com\/pagead\/conversion_async.js\u0022 async=\u0022async\u0022\u003E\u003C\/script\u003E"]},"cookie-1":{"header":["\u003Cscript type=\u0022text\/javascript\u0022\u003E\r\n \/\/ Set to the same value as the web property used on the site\r\n var gaProperty = \u0027UA-36468616-1\u0027;\r\n \r\n \/\/ Disable tracking if the opt-out cookie exists.\r\n var disableStr = \u0027ga-disable-\u0027 + gaProperty;\r\n if (document.cookie.indexOf(disableStr + \u0027=true\u0027) \u003E -1) {\r\n window[disableStr] = true;\r\n }\r\n \r\n \/\/ Opt-out function\r\n function gaOptout() {\r\n document.cookie = disableStr + \u0027=true; expires=Thu, 31 Dec 2099 23:59:59 UTC; path=\/\u0027;\r\n window[disableStr] = true;\r\n }\r\n \r\n \/\/ Load GA\r\n (function(i,s,o,g,r,a,m){i[\u0027GoogleAnalyticsObject\u0027]=r;i[r]=i[r]||function(){\r\n (i[r].q=i[r].q||[]).push(arguments)},i[r].l=1*new Date();a=s.createElement(o),\r\n m=s.getElementsByTagName(o)[0];a.async=1;a.src=g;m.parentNode.insertBefore(a,m)\r\n })(window,document,\u0027script\u0027,\u0027\/\/www.google-analytics.com\/analytics.js\u0027,\u0027ga\u0027);\r\n \r\n ga(\u0027create\u0027, \u0027UA-36468616-1\u0027, \u0027auto\u0027);\r\n ga(\u0027set\u0027, \u0027forceSSL\u0027, true);\r\n ga(\u0027set\u0027, \u0027anonymizeIp\u0027, true);\r\n ga(\u0027send\u0027, \u0027pageview\u0027);\r\n \r\n setTimeout(\u0022ga(\u0027send\u0027,\u0027event\u0027,\u0027adjusted bounce rate\u0027,\u002715 seconds\u0027)\u0022,15000);\r\n \r\n \r\n\u003C\/script\u003E"]},"cookie-2":{"body":["\u003C!-- Global site tag (gtag.js) - Google Ads: AW-1070930447 --\u003E\r\n\u003Cscript async src=\u0022https:\/\/www.googletagmanager.com\/gtag\/js?id=AW-1070930447\u0022\u003E\u003C\/script\u003E\r\n\u003Cscript\u003E\r\n window.dataLayer = window.dataLayer || [];\r\n function gtag(){dataLayer.push(arguments);}\r\n gtag(\u0027js\u0027, new Date());\r\n\r\n gtag(\u0027config\u0027, \u0027AW-1070930447\u0027);\r\n\u003C\/script\u003E"]},"cookie-5":{"header":["\u003Cscript src=\u0022\/\/www.googleadservices.com\/pagead\/conversion_async.js\u0022 async=\u0022async\u0022\u003E\u003C\/script\u003E"]}}}

Paramètres des cookies

Ce site Internet utilise des cookies. Certains cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site Internet et ne peuvent pas être refusés. D’autres cookies sont utilisés à des fins d’analyse ou de marketing. Pour ces cookies, nous avons besoin de votre accord. Vous pouvez le révoquer à tout moment. Vous trouverez davantage d’informations dans notre politique de confidentialité et protection des données médias sociaux.