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  • Atmosphère

Atmosphère

Entre art et nature

Sept définitions : un des termes les plus variés.

Elle nous entoure partout et à tout moment. Elle est présente naturellement, mais peut également être créée artificiellement. Elle est la base de notre vie et de notre coexistence : l’atmosphère. Il n’est donc pas étonnant que nous voulions tous la meilleure atmosphère possible. Notre impact sur l’atmosphère naturelle est très controversé. Personne ne trouve cependant à redire au fait que nous soyons capables de créer une atmosphère dans les pièces et les bâtiments à l’aide de moyens techniques de construction, ce qui améliore considérablement la qualité de vie. 

Chez D+H, l’importance que nous accordons à cette préoccupation se voit déjà dans notre promesse d’entreprise BUILDING ATMOSPHERE. Mais qu’est-ce qui se cache concrètement derrière la notion d’atmosphère ? Lorsqu’on recherche ce terme sur Wikipédia, on obtient pas moins de sept définitions. Il est utilisé en astronomie, dans le domaine technique, en esthétique et en physique. Raison pour laquelle nous allons expliciter plus en détail les différentes définitions du terme « atmosphère ». Nous avons effectué des recherches et nous vous invitons cordialement à nous suivre pendant ce voyage passionnant.

Économie

Es-tu encore sur ton lieu de résidence ou bien sur ton lieu de travail ?

L’ambiance de travail est influencée par de nombreux facteurs. Mais tous ont toujours un impact direct sur les collaborateurs.

Une casquette décontractée ornée d’un logo Batman est accrochée sur un porte-manteau vert clair. De nombreuses grandes plantes viennent égayer la pièce. Chez Jimdo, une start-up de Hambourg, l’agencement des bureaux ressemble davantage à un grand salon avec des meubles modernes plutôt qu’à un open space traditionnel. La pièce est équipée de chaises de bureau classiques, mais également de poufs, de canapés et de couchettes. Il y a même une douche et des lave-linge. Le principe le plus important : les collaborateurs doivent se sentir à l’aise, presque comme à la maison. Au fil des années, de plus en plus de personnes sont convaincues qu’il est important de travailler dans une bonne atmosphère. Un nombre croissant d’entreprises adaptent leurs infrastructures en conséquence.

  • Feelgood manager – non-sens ou modèle d’avenir ? Le profil de ce métier a changé au début des années 2000 : il existe aujourd’hui des formations professionnelles certifiées. Dans le profil du poste, on trouve l’organisation d’événements d’entreprise, la mise en place d’une alimentation saine et la présence d’une oreille attentive pour chaque collaborateur. La structure hiérarchique joue également un rôle majeur dans le bien-être du collaborateur.

  • Le collaborateur a-t-il la possibilité de travailler de façon autonome ? Y a-t-il des hiérarchies horizontales et des processus décisionnels courts ? De nos jours, le travail autonome est un facteur très important pour que chacun se sente bien sur son lieu de travail. La mentalité « hands-on » est avant tout présente dans les start-up. Les jeunes au milieu de leur vingtaine qui dirigent une équipe depuis un certain temps ou ont monté tout seuls une nouvelle succursale à l’étranger, sont souvent dans des start-up. Un ancien collaborateur de Glossybox, une entreprise qui vend des coffrets cosmétiques, a expliqué au magazine économique allemand « brand eins » qu’il travaillait volontairement près de 80 heures par semaine. « Mes meilleurs amis travaillaient dans cette entreprise. Nous faisions une pause vers 19 heures pour jouer au ping-pong pendant une heure, puis nous allions manger des pizzas. Ensuite nous retournions au travail, pour boucler des dossiers ou développer de nouvelles idées. C’était tout simplement passionnant. »

  • De nombreuses grandes entreprises essayent de conserver leur âme de start-up, à l’instar de Spotify. La croissance rapide de ce service suédois de streaming musical repose entre autres sur son modèle de direction hors du commun. Chez Spotify, il n’y a pas d’équipes, seulement des brigades. Une brigade compte entre six et 20 collaborateurs. Elle ne dépend pas d’un supérieur au sens classique, mais de ce que l’on appelle un « Product Owner », un détenteur de produit. De manière générale, cette structure de travail rappelle beaucoup « Scrum », une méthode de gestion de projet informatique très connue.

  • La volonté des grandes entreprises de conserver des structures aussi dynamiques que possible se traduit même dans l’architecture de leurs bureaux. Dans le documentaire « Work Hard - Play Hard », un architecte de « Behnisch Architekten » (le bureau qui a conçu le siège social d’Unilever en Allemagne) lit un extrait de l’appel d’offres : « Des bureaux baignés de lumière et transparents ne doivent pas inspirer le luxe, mais donner envie de travailler grâce à des stimuli énergisants et fonctionnels, de la couleur, des matériaux, des espaces d’interaction avec la nature ». Le bâtiment doit montrer que le travail n’est pas une contrainte et il ne doit en aucun cas être un lieu qui nous rappelle qu’il faut travailler.

Peu importe si une entreprise de taille moyenne conçoit des moteurs de fenêtre ou des équipements médicaux : en comparaison avec les grandes entreprises qui comptent des milliers de salariés, ces entreprises se caractérisent par leur volonté de garder les pieds sur terre. La direction d’une entreprise de taille moyenne se transmet généralement de génération en génération, comme c’est le cas chez D+H. Cela permet de créer une atmosphère familiale où le collaborateur peut s’identifier davantage à l’entreprise et qui se caractérise par la confiance et l’ouverture d’esprit. Dans les entreprises de taille moyenne, les hiérarchies ne sont pas aussi horizontales que dans les start-up, mais il y a moins de processus bureaucratiques que dans les grandes entreprises. « De ce fait, les processus décisionnels sont généralement plus courts » explique Jonas Wrage, qui a travaillé pendant deux ans chez Airbus, avant de rejoindre D+H en tant qu’assistant du responsable de production. « Une idée soumise à mon chef pendant que nous prenons un café à la cafétéria peut déjà être validée au moment du déjeuner ». 

Plus

Contrairement aux grandes entreprises, les entreprises de taille moyenne mettent l’accent sur les relations humaines. Les grandes entreprises misent sur un changement structurel ou sur des facteurs externes pour encourager la dynamique. Un style de direction souple ainsi que des hiérarchies horizontales permettent de créer une atmosphère particulièrement motivante dans les start-up. Selon Stefan Kühl, sociologue et consultant en organisation, ces entreprises seraient inévitablement confrontées aux mêmes questions structurelles que les grandes entreprises lorsqu’elles s’agrandissent. Toutes les formes d’entreprises sont donc dans le même bateau, en particulier parce qu’elles doivent toutes faire face au même défi : comment attirer la main d’œuvre qualifiée de demain ? Chaque entreprise à sa propre approche pour y faire face. Cela montre à quel point la question de l’atmosphère au travail doit être abordée de manière large et différenciée. Le lieu de travail comme deuxième maison. Pour les uns une idée absolument horrifiante, pour d’autres une motivation supplémentaire pour travailler. Au final, le bien-être ressenti ou non par un collaborateur dans un environnement de travail dépend certainement de ses préférences individuelles.

Film

« Le moment où tu oublies que tu existes. »

Sensation de grand frisson : Interview avec le réalisateur Lars Büchel.

Tout comme le popcorn va avec le cinéma, un vrai blockbuster va de pair avec une atmosphère particulière, composée d’un mélange parfait entre image animée et son. Que ce soit des mélodies orchestrales pour les scènes romantiques, un tempo rapide pour les scènes de poursuite ou de la musique jazz pour les scènes de bars : ces musiques permettent aux réalisateurs, aux compositeurs et aux entreprises de production de mettre en scène des atmosphères particulières. Leur objectif est d’amener le spectateur à rire à gorge déployée, à se cacher derrière ses mains tellement il est effrayé ou à verser une petite larme. Mais est-ce vraiment si facile de créer la bonne atmosphère dans un film ? Et quel est le véritable rôle de la musique ? Pendant l’interview de Lars Büchel, réalisateur et directeur de l’entreprise de production « element e » à Hambourg, il nous explique quels éléments sont vraiment importants dans un film et de quoi est composé le parfait « instant chair de poule ».

QUEL EST LE VÉRITABLE SENS DU MOT « ATMOSPHÈRE » DANS L’INDUSTRIE DU CINÉMA ? 

Il décrit l’ambiance générale du film. S’il est sombre, drôle, captivant, etc. La liste est loin d’être exhaustive. Si une atmosphère est transmise et perçue par le spectateur, c’est une marque de qualité. La question se pose toujours de savoir quand un film paraît trop long, qu’il « tire en longueur ». Le nouveau film Blade Runner par exemple ne parvient pas à être un film qui sort de l’ordinaire. Bien qu’il crée une atmosphère particulière, il ne parvient pas à « emballer » totalement le spectateur. L’histoire est toujours au premier plan. Celle-ci doit être bien racontée. Si ce n’est pas le cas, le fait que le film ait une atmosphère spéciale ou que la caméra soit excellente ne pourra rien y changer. 

QUELS MOYENS CINÉMATOGRAPHIQUES SONT GÉNÉRALEMENT IMPORTANTS VOIRE ESSENTIELS POUR CRÉER UNE ATMOSPHÈRE ? 

Il n’y a pas de recette brevetée. L’histoire et les acteurs sont les ingrédients principaux d’un film. Le réalisateur est comme un chef d’orchestre qui influence et façonne le style narratif. Il décide du tempo en accélérant ou en ralentissant le temps, ainsi que de l’intensité de l’expression. Qui d’autre peut prétendre faire cela (rires). L’atmosphère est en réalité fortement influencée par la musique. Seule la musique est en mesure d’atteindre notre âme, nos sentiments aussi directement. Elle va en quelque sorte droit au cœur. Lorsqu’elle nous atteint, nous n’avons pratiquement aucune chance de réfléchir à la musique au moment où nous l’entendons. Elle s’infiltre à la vitesse du son jusqu’à notre tronc cérébral. Nous évaluons l’image, le jeu des acteurs à chaque instant, nous déterminons très rapidement si ce que nous voyons nous paraît crédible. La musique permet rarement une telle réflexion.

POUR QUEL GENRE DE FILMS EST-IL FACILE DE CRÉER DES ATMOSPHÈRES ET POUR QUEL GENRE EST-CE PARTICULIÈREMENT DIFFICILE ? 

Le mot « facile » n’existe pas dans l’univers du film (rires). Tourner un bon film est très compliqué. Les thrillers, les thrillers d’action et les films d’aventure ne peuvent pas être tournés en Allemagne. Nous n’avons pas assez de budget pour cela. Avec leurs importants moyens financiers, les Américains y parviennent beaucoup mieux. À mon avis, la comédie est le genre le plus complexe. Il est extrêmement difficile de faire rire les autres. En particulier en Allemagne, où un spectateur bavarois rira pour des choses totalement différentes qu’un spectateur du nord ou de l’est du pays. Pour le film « Jetzt oder nie », j’ai fait appel à des dames d’un certain âge. On m’a dit que personne ne voulait les voir au cinéma. Qu’elles sont trop âgées. Heureusement, cela s’est avéré complètement faux. L’année dernière, j’ai tourné « Schubert in love », un film avec Olaf Schubert, un comédien d’Allemagne de l’est. J’ai trouvé ce film très drôle, mais le public n’était malheureusement pas du même avis.

QUE CE SOIT STAR WARS OU ROCKY. LA MEILLEURE MUSIQUE DE FILM RESTE PRESQUE TOUJOURS ANCRÉE DANS LA MÉMOIRE À LONG TERME. QU’EST-CE QUI CARACTÉRISE VRAIMENT LES BANDES-SON PRIMÉES ? 

Le fait qu’elles soient pratiquement inaudibles, qu’elles ne s’imposent pas tout en imprégnant le film, son atmosphère notamment. La musique nous touche directement. Il faut donc être particulièrement vigilant avec la musique. De nombreux films sont véritablement « inondés » de musique et ont de ce fait un effet profondément marquant. De grands compositeurs comme Desplat (qui a composé à ce jour des musiques pour plus de 150 films pour le cinéma et la télévision et qui a déjà obtenu deux Oscars) le savent et nous ravissent de leur savoir-faire.

SI VOUS CONSIDÉREZ TOUTES LES PRODUCTIONS QUE VOUS AVEZ RÉALISÉES JUSQU’À AUJOURD’HUI, QUELLE EST L’ATMOSPHÈRE QUI VOUS REND PARTICULIÈREMENT FIER ? 

« Fier » n’est peut-être pas le bon mot. Je suis content quand une scène est vraiment réussie, ce qui n’est pas toujours le cas (rires). Le film « Erbsen auf halb 6 » contient une scène finale où les amoureux se retrouvent. Cette scène est réussie parce que les acteurs la jouent très bien. Dans un spot publicitaire pour Mercedes, je voulais souligner un aspect érotique : un homme et une femme s’embrassent, à moitié allongés sur le capot d’une voiture. Seul l’emblème à l’étoile laisse une marque (rires). Heureusement, cette scène aussi est réussie. Pour D+H également, je pense que nous sommes parvenus à montrer comme fonctionne la respiration des bâtiments. Cela rend le film en quelque sorte sensuel, et le produit prend tout son sens. Seuls ceux qui respirent de l’air frais grâce à des « bâtiments respirants » peuvent vivre. Voilà le message du film « BUILDING ATMOSPHERE ».

Plus

DANS UN FILM, CERTAINS PERSONNAGES ONT SOUVENT LEUR PROPRE MUSIQUE. EN VOUS APPUYANT SUR UN FILM DE CINÉMA, POUVEZ-VOUS ESSAYER DE NOUS EXPLIQUER LA MÉTHODE UTILISÉE PAR LES RÉALISATEURS ET LES COMPOSITEURS ? 

« Il était une fois dans l’Ouest » avec la musique d’Ennio Morricone. Chaque personnage a un leitmotiv. La musique de Claudia Cardinale ressemble à celle d’une boîte à musique, tandis que la musique d’Henry Fonda est beaucoup plus sombre. Le film est particulièrement marqué par Charles Bronson et son harmonica lorsqu’il joue « Il était une fois dans l’Ouest ». La chanson a également un fondement dans l’histoire, puisque Fonda lui a collé un harmonica dans la bouche lorsqu’il était enfant. Bronson porte son père sur les épaules jusqu’à ce qu’il s’effondre, épuisé, et son père meurt. C’est ainsi qu’est née cette mélodie de vengeance si connue. 

LE CHOIX DE L’ACTEUR/DE L’ACTRICE PEUT-IL INFLUENCER (DE MANIÈRE POSITIVE OU NÉGATIVE) L’INTENSITÉ AVEC LAQUELLE LE PUBLIC PERÇOIT L’ATMOSPHÈRE ? 

Oui beaucoup. Le choix des acteurs est d’une importance capitale. Faire jouer Schwarzenegger ou Stallone dans une comédie romantique serait certainement une erreur, tout comme choisir Til (Til Schweiger, NDLR) pour un film art et essai sérieux ne fonctionnerait pas non plus. Le public a une certaine attente qui ne serait pas satisfaite avec un tel casting. 

TRAITEMENT D’IMAGE. SIMULATION PAR ORDINATEUR. MIXAGE. LA VÉRITABLE ATMOSPHÈRE D’UN FILM EST-ELLE CRÉÉE UNIQUEMENT EN STUDIO ET NON SUR LE LIEU DE TOURNAGE ? 

Non, le cœur d’un film est toujours créé sur le tournage ou dans le script. Tous les autres effets ajoutés par la suite servent uniquement à rendre le film encore meilleur, mais ils ne peuvent pas « masquer » une mauvaise histoire ou le mauvais jeu des acteurs. 

L’ATMOSPHÈRE JOUE UN RÔLE ESSENTIEL DANS LE FILM, MAIS ELLE EST ÉGALEMENT CRÉÉE LORSQU’ON REGARDE CE FILM. QUE CE SOIT AVEC DU POPCORN AU CINÉMA OU AVEC UN PAQUET DE CHIPS SUR LE CANAPÉ : COMMENT CRÉER L’ATMOSPHÈRE PARFAITE ? 

Sans chips ni popcorn justement ! Le vin est autorisé, il fait moins de bruit lorsqu’il est consommé et peut même rendre un film plus coloré si nécessaire. C’est le moment où tu oublies que tu existes, parce que tu es complètement absorbé par une scène ou le film tout entier. Tu fusionnes complètement avec le film, ta propre perception et réflexion sur ton existence n’est tout simplement plus possible, parce que le film a su t’attirer de son côté. Avatar était bien plus qu’un film. Il s’agissait d’un événement majeur envoûtant, qui m’a plongé dans un univers totalement différent et je ne pouvais rien y faire. C’est peut-être ce qu’on appelle le bonheur.

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Physique

L’enveloppe de la vie

Un coucher de soleil magique sur fond de paysage côtier pittoresque. Même ceux qui n’ont jamais vécu cette expérience en vrai ont déjà pu en voir dans une multitude de films, photos ou cartes postales. Un tel spectacle de la nature éveille de nombreuses sensations, par exemple le désir d’une vie harmonieuse et sans soucis. Il crée une atmosphère particulière. Mais qu’est-ce au juste que l’atmosphère ?    

D’un point de vue étymologique, le mot atmosphère vient du grec. Il se compose des mots « atmós » qui signifie vapeur et « sphaîra » qui signifie balle ou sphère. Ce terme décrit donc plutôt bien ce qu’est l’atmosphère terrestre : une enveloppe gazeuse qui entoure la Terre. Elle permet à la terre de fleurir et aux humains de respirer, puisqu’elle représente un réservoir de dioxyde de carbone et d’oxygène et qu’elle est joue un rôle dans un certain nombre de cycles essentiels à la vie. Mais bien d’autres choses que nous trouvons poétiques et impressionnantes trouvent leur origine dans l’atmosphère terrestre. Qui n’a jamais voulu changer son destin et fait un vœu en voyant une pluie d’étoiles filantes ? Derrière ce spectacle, il s’agit juste de grains de poussière et de petits morceaux de roche venant de l’espace, qui entrent en combustion en pénétrant dans la mésosphère (voir graphique d’information). 

Atmosphère créée artificiellement

Il est facilement concevable que le terme atmosphère issu du domaine physique et météorologique a été transféré dans tous les autres domaines avec lesquels nous sommes directement en contact. L’atmosphère nous entoure à tout moment et influence directement notre vie émotionnelle. Dans les années 90, l’atmosphère est devenue un concept clé de l’esthétique. Le philosophe allemand Gernot Böhme a particulièrement influencé ce terme, afin d’apporter davantage de sensualité et de naturel dans la culture et l’architecture. Lorsqu’elle est associée à des attributs tels que « unique », « particulière », « agréable », on obtient le vocabulaire de base pour presque toutes les descriptions. L’atmosphère promet de satisfaire les besoins fondamentaux de vie et d’expérience. 

La mise en pratique de cette promesse est l’une des principales missions de l’architecture moderne. C’est exactement pour cette raison que l’objectif de D+H est « BUILDING ATMOSPHERE », afin que des sensations essentielles comme la sécurité et le confort soient à nouveau intégrées à l’intérieur des bâtiments. Le bien-être repose principalement sur la présence de suffisamment d’air frais et de suffisamment d’espace pour respirer. Afin d’obtenir l’atmosphère souhaitée, D+H combine esthétique et fonctionnalité. Cela inclut les effets d’une régulation intelligente de la lumière. Afin qu’il soit possible de continuer d’admirer un lever de soleil depuis chaque bâtiment, face à n’importe quelle vue extérieure et derrière chaque façade.

Psychologie

Un je-ne-sais-quoi indéfinissable

La personnalité crée une atmosphère

Mohammed Ali l’avait, tout comme Marilyn Monroe, Steve Jobs et la princesse Diana. Cette aura particulière qui captive tout le monde. L’acteur Christoph Waltz en est un exemple, tout comme le sprinter Usain Bolt, détenteur de plusieurs records du monde, et des hommes d’État tels que Barack Obama qui sont perçus comme des personnalités charismatiques. Même si nous ne sommes pas tous d’accord sur certaines personnes en particulier, nous reconnaissons en règle générale très vite les personnes qui ont cette aura particulière. Ce ne sont pas toujours des personnalités connues, nous connaissons également des personnes charismatiques parmi nos collègues, nos amis et notre entourage. Elles entrent dans une pièce, la remplisse avec une atmosphère particulière et attirent les regards. Il est simple pour elles de nous convaincre de quelque chose, elles nous inspirent et nous fascinent. Mais si on nous demande de décrire ce qu’est ce petit plus, nous n’avons généralement pas de réponse claire à donner. 

Guérisons et miracles

Certains sociologues décrivent le charisme comme une ouverture d’esprit, d’autres y voient quelque chose de magique. Ce terme vient en effet du grec ancien et signifie « faveur accordée par Dieu ». Il s’est répandu grâce aux Épîtres de Saint Paul. Il y explique que tous les hommes sont fondamentalement identiques, mais qu’ils différent d’un point de vue fonctionnel, de par le « don conféré par la grâce divine pour le bien commun ». Des caractéristiques et des aptitudes comme la sagesse, la foi, la guérison des maladies et les miracles en font partie. La notion actuelle de charisme s’est beaucoup éloignée de celle de Saint Paul. Depuis le début du XXe siècle, ce terme a une signification beaucoup plus générale. Dans le dictionnaire, il est défini comme « aura particulière d’une personne ». Mais quelles sont les caractéristiques qui définissent cette aura particulière ?

L’auto-test de charisme

Des scientifiques canadiens de l’Université de Toronto se sont basés sur une enquête menée auprès de 966 participants pour créer un test qui permet de déterminer rapidement et simplement notre propre niveau de charisme. Les volontaires ont été répartis en trois groupes. Les participants du premier groupe devaient décrire en quelques mots quels sont selon eux les attributs d’une personne charismatique. Ceux du deuxième groupe devaient déterminer s’ils considéraient ces attributs comme des signes de charisme. Ceux du troisième groupe devaient classer des photos en fonction du niveau de charisme des personnes photographiées. Ce procédé a permis de créer le test qui se déroule de la manière suivante : chaque participant doit répondre à six affirmations en donnant une note subjective allant de un à cinq. Cinq est ici la valeur la plus élevée. Les affirmations sont les suivantes : 

« JE SUIS UNE PERSONNE QUI … 

... A UNE PRÉSENCE DANS UNE PIÈCE. » 

... A LA CAPACITÉ D’INFLUENCER LES AUTRES. » 

... SAIT MENER UN GROUPE. » 

... MET LES GENS À L’AISE. » 

... SOURIT SOUVENT AUX AUTRES. » 

... S’ENTEND BIEN AVEC LES AUTRES. » 

La moyenne de ces notes détermine le niveau de charisme. Si ce chiffre est supérieur à 3,7, la personne est plus charismatique que la moyenne. Selon les chercheurs canadiens, une personne extérieure devrait également évaluer celle qui effectue le test. Mais en règle générale, il n’y a pas de gros écarts, car le questionnaire a été établi sur la base de l’étude des différents aspects du charisme. 

On peut améliorer sa présence, mais pas son charisme. Certains facteurs comme l’expression et la présence peuvent être améliorés sur le long terme en s’observant soi-même et en s’entraînant. Mais le vrai charisme vient de l’intérieur. Il n’existe pas de mode d’emploi pour le charisme.

Dr. Annelen Collatz, psychologue diplômée, coaching & formation

Sociologie

Une atmosphère urbaine particulière

Quels éléments déterminent l’atmosphère d’une ville et pourquoi certaines villes ont une atmosphère particulière à nos yeux.

Connaissez-vous la chanson du compositeur allemand Paul Lincke ? Non ? Alors peut-être en connaissez-vous le refrain : « Das ist die Berliner Luft, Luft, Luft… » (C’est l’air, l’air, l’air de Berlin...). Cette chanson populaire décrit dans un dialecte typique de Berlin la joie de vivre débordante et libérée qui règne au début du XXe siècle dans cette métropole en pleine croissance. Au moment où cette chanson a été écrite, les premières études scientifiques concernant les conditions de vie déplorables des enfants dans les arrière-cours de Berlin ont été publiées. Ce contraste frappant entre cosmopolitisme, élégance et liberté d’un côté, mais également bruit, puanteur, stress et risque de maladies infectieuses et d’épidémies de l’autre côté, crée cette tension particulière qui caractérise l’atmosphère des grandes villes jusqu’à aujourd’hui.

  • Sens
  • Différentes utilisations
  • Authenticité
  • Hymne

Le terme atmosphère peut être décrit de manière générale comme une ambiance subjective, véhiculée par l’environnement social et extérieur. Dans les espaces libres en ville, ce sont avant tout les différentes impressions sensorielles qui créent les ambiances que nous ressentons. Les odeurs locales typiques par exemple, qu’elles soient positives ou négatives. C’est ainsi que les hauts-fourneaux de l’industrie lourde n’ont pas seulement marqué la silhouette rurale de la région de la Ruhr jusque dans les années 80. Il était possible de sentir d’un peu partout les émanations des cokeries et des sites industriels. Bien différentes sont les odeurs typiques des villes portuaires comme Marseille : tôt le matin, les pêcheurs déchargent leurs marchandises sur le port, puis réparent leurs filets pendant la journée. Une ville peut donc avoir l’odeur de l’industrie et du travail et permet, dans certains endroits, de relier différents milieux sociaux.

L’absence d’odeur peut également être une qualité particulière, dans les stations climatiques traditionnelles par exemple. Ce thème est très souvent abordé actuellement, en raison des émissions de particules fines liées aux gaz d’échappement diesel. Au-delà de ces paysages olfactifs urbains, les villes ont également des sons et des bruits typiques : le tintement des trams, le grondement du terminal à conteneurs, le vrombissement des voies ferrées et des couloirs aériens, l’entrechoquement des mâts des bateaux de la marina ou le son des cloches de l’hôtel de ville. Une évaluation sociologique récente se concentre sur l’environnement social en tant que relais de l’atmosphère. Du fait de l’intériorisation des conditions sociales générales, les habitants créent un « habitus » spécifique, autrement dit une sorte de mentalité ou de façon de vivre. Celle-ci détermine les pensées et les actions.

Pourtant, ce sont précisément les domaines économiques et culturels comme le design, l’architecture, la mode, le cinéma, les musées, le théâtre ou la musique qui influencent le comportement des habitants et ainsi l’apparence d’une ville. Paris en est l’exemple parfait : une métropole de la mode et de l’art qui est depuis toujours considérée comme un lieu d’élégance, de grande culture et de style. Ou Los Angeles, avec son industrie du cinéma et Hollywood, qui produit une lueur superficielle mais magnifique. Les villes ont donc leur propre « biographie de production », qui façonne leur caractère et qui crée ainsi leur atmosphère. Aujourd’hui on sait que ces typologies de villes ne sont pas suffisantes, puisque que les grandes villes sont elles-mêmes divisées en plusieurs espaces avec des cultures et des groupes sociaux différents. Il est alors question de milieux, de quartiers ou d’arrondissements, dans lesquels une ambiance particulière se crée.

De nos jours, on essaye de créer une atmosphère urbaine en densifiant et en connectant les différentes utilisations entre elles. C’est l’inverse du mouvement de construction des villes dans les années 60 et 70, lorsque la population était invitée à quitter la ville le soir pour rejoindre les quartiers extérieurs et les banlieues aisées. De nos jours, ce mouvement est contrebalancé par les avantages du mélange entre habitations, lieux de travail, commerces et loisirs. Beaucoup parlent de renaissance du centre-ville pour décrire ce phénomène. Cela est particulièrement valable pour les zones urbaines, qui étaient autrefois utilisées de manière industrielle avant d’être transformées. Ces zones de transformations sont l’illustration concrétisée de ce que nous considérons aujourd’hui comme la ville parfaite : des quartiers d’habitation avec des aires de jeux pour les enfants, situées dans des cours intérieures silencieuses. Des rez-de-chaussée surélevés pour les cafés et les petits magasins. Une interdiction de circuler pour les voitures et un accès facilité aux transports en commun. Le lieu de travail est situé non loin du domicile et, dans le meilleur des cas, le boulanger, le pressing et la garderie se trouvent sur le chemin. La sauvegarde des ressources individuelles et naturelles détermine l’air du temps.

Jan Gehl, architecte et urbaniste de Copenhague, s’intéresse également à ce qui se passe dans les espaces publics entre les habitations. Dans ses projets, le rôle principal est attribué aux éléments non planifiés et improvisés : les contacts spontanés et les flux de déplacement. Il aimerait concevoir des villes pour la population ; le facteur humain est essentiel à ses yeux. Son idéal est une ville méditerranéenne, historique et dotée d’une atmosphère de bon voisinage, à l’opposé des villes-dortoirs maussades de l’époque moderne, destinées avant tout à être fonctionnelles.

Ses maximes sont : ralentissement, accessibilité piétonne, proportions et espaces verts. Après avoir transformé avec succès Copenhague en une ville piétonne et cycliste dans les années 70, son bureau conseille aujourd’hui des villes telles que Londres et New York. Un exemple de ses accomplissements parmi tant d’autres : Times Square, qui est redevenue une place digne de ce nom, sur laquelle les gens aiment passer du temps, s’asseoir ou flâner.

Les zones de nouvelles constructions ne peuvent cependant pas offrir une chose dont seules les structures qui ont évolué peuvent disposer : la patine. La destruction visible des traces laissées par les habitants et par l’histoire. La patine est une matérialisation du temps et la mémoire visible d’une ville. Les surfaces qui s’érodent, changent de couleur, s’usent ou qui ont été abîmées. Si l’on considère les façades comme la peau d’une ville, alors la patine est comparable aux rides de sourire, aux cicatrices ou aux grains de beauté. Elles montrent l’âge, la maturité, le caractère et aussi la fragilité. Que ce soit la suie sur les façades, les toitures en cuivre oxydées ou les graffitis : ils donnent un visage humain, une atmosphère humaine à la ville.

La patine manquante est également ce qui distingue une architecture historique d’une architecture historisante, c’est-à-dire des répliques contemporaines de l’architecture historique. Exemple : le très controversé château de Berlin. L’absence d’authenticité, le manque de concordance entre être et paraître, ont alors un impact sur la façon dont l’atmosphère est ressentie. Définir si un événement authentique dispose d’une dimension historique dépend néanmoins de l’œil avisé de l’observateur ou tout simplement de sa propre volonté. 

 Ainsi, certains touristes ne sont guère dérangés par la présence de grues portuaires fraîchement rénovées, bien placées au cœur des nouvelles zones portuaires, mais totalement inutilisées de nos jours. Celles-ci ont généralement pour seule fonction de mettre en scène une atmosphère maritime évoquant une vie portuaire passée.

L’interaction et l’occurrence répétitive de toutes ces sensations, impressions et processus sociaux, confèrent souvent un rythme particulier à la ville. Une sorte de « particularité », qui la rend très spéciale et donc comparable à d’autres villes. Et comme chaque ville a son propre rythme, elle a aussi son propre hymne officiel ou plus souvent officieux. Au Ruhrstadion de Bochum, lorsque l’équipe de football locale joue à domicile, des dizaines de milliers de supporters de football chantent à pleins poumons la chanson « Bochum » d’Herbert Grönemeyer : 

DU BIST KEINE SCHÖNHEIT    I   VOR ARBEIT GANZ GRAU   I   LIEBST DICH OHNE SCHMINKE

BIST NE EHRLICHE HAUT   I   LEIDER TOTAL VERBAUT    I   ABER GERADE DAS MACHT DICH AUS

 

TU N’ES PAS UNE BEAUTÉ       I   TOUTE GRISE DE TRAVAIL   I   TU AIMES ÊTRE SANS MAQUILLAGE

TU ES UNE PEAU HONNÊTE   I   BIEN QUE TOUT À FAIT ABÎMÉE    I   MAIS C’EST CE QU’ON AIME EN TOI  

Difficile de retranscrire l’atmosphère de la ville de manière plus lyrique. Et cette célébration rituelle, le fait de chanter tous ensemble, ne permet pas seulement de renforcer l’image linguistique de cette atmosphère toute particulière qui règne dans la ville. Elle permet également de la transporter et de la faire voyager vers le monde extérieur.

Particularité est synonyme d’authenticité. Elle permet de se créer une identité en se différenciant des autres. Et c’est aussi pour cette raison qu’une même scène se répète chaque année lors du concert annuel de fin de saison de l’Orchestre philharmonique de Berlin. En effet, lorsque le chef d’orchestre lève sa baguette pour le grand final, les 20 000 visiteurs chantent avec enthousiasme : « C’est l’air, l’air, l’air de Berlin… ! ».

 

 

 

  • Sens

    Le terme atmosphère peut être décrit de manière générale comme une ambiance subjective, véhiculée par l’environnement social et extérieur. Dans les espaces libres en ville, ce sont avant tout les différentes impressions sensorielles qui créent les ambiances que nous ressentons. Les odeurs locales typiques par exemple, qu’elles soient positives ou négatives. C’est ainsi que les hauts-fourneaux de l’industrie lourde n’ont pas seulement marqué la silhouette rurale de la région de la Ruhr jusque dans les années 80. Il était possible de sentir d’un peu partout les émanations des cokeries et des sites industriels. Bien différentes sont les odeurs typiques des villes portuaires comme Marseille : tôt le matin, les pêcheurs déchargent leurs marchandises sur le port, puis réparent leurs filets pendant la journée. Une ville peut donc avoir l’odeur de l’industrie et du travail et permet, dans certains endroits, de relier différents milieux sociaux.

    L’absence d’odeur peut également être une qualité particulière, dans les stations climatiques traditionnelles par exemple. Ce thème est très souvent abordé actuellement, en raison des émissions de particules fines liées aux gaz d’échappement diesel. Au-delà de ces paysages olfactifs urbains, les villes ont également des sons et des bruits typiques : le tintement des trams, le grondement du terminal à conteneurs, le vrombissement des voies ferrées et des couloirs aériens, l’entrechoquement des mâts des bateaux de la marina ou le son des cloches de l’hôtel de ville. Une évaluation sociologique récente se concentre sur l’environnement social en tant que relais de l’atmosphère. Du fait de l’intériorisation des conditions sociales générales, les habitants créent un « habitus » spécifique, autrement dit une sorte de mentalité ou de façon de vivre. Celle-ci détermine les pensées et les actions.

    Pourtant, ce sont précisément les domaines économiques et culturels comme le design, l’architecture, la mode, le cinéma, les musées, le théâtre ou la musique qui influencent le comportement des habitants et ainsi l’apparence d’une ville. Paris en est l’exemple parfait : une métropole de la mode et de l’art qui est depuis toujours considérée comme un lieu d’élégance, de grande culture et de style. Ou Los Angeles, avec son industrie du cinéma et Hollywood, qui produit une lueur superficielle mais magnifique. Les villes ont donc leur propre « biographie de production », qui façonne leur caractère et qui crée ainsi leur atmosphère. Aujourd’hui on sait que ces typologies de villes ne sont pas suffisantes, puisque que les grandes villes sont elles-mêmes divisées en plusieurs espaces avec des cultures et des groupes sociaux différents. Il est alors question de milieux, de quartiers ou d’arrondissements, dans lesquels une ambiance particulière se crée.

  • Différentes utilisations

    De nos jours, on essaye de créer une atmosphère urbaine en densifiant et en connectant les différentes utilisations entre elles. C’est l’inverse du mouvement de construction des villes dans les années 60 et 70, lorsque la population était invitée à quitter la ville le soir pour rejoindre les quartiers extérieurs et les banlieues aisées. De nos jours, ce mouvement est contrebalancé par les avantages du mélange entre habitations, lieux de travail, commerces et loisirs. Beaucoup parlent de renaissance du centre-ville pour décrire ce phénomène. Cela est particulièrement valable pour les zones urbaines, qui étaient autrefois utilisées de manière industrielle avant d’être transformées. Ces zones de transformations sont l’illustration concrétisée de ce que nous considérons aujourd’hui comme la ville parfaite : des quartiers d’habitation avec des aires de jeux pour les enfants, situées dans des cours intérieures silencieuses. Des rez-de-chaussée surélevés pour les cafés et les petits magasins. Une interdiction de circuler pour les voitures et un accès facilité aux transports en commun. Le lieu de travail est situé non loin du domicile et, dans le meilleur des cas, le boulanger, le pressing et la garderie se trouvent sur le chemin. La sauvegarde des ressources individuelles et naturelles détermine l’air du temps.

    Jan Gehl, architecte et urbaniste de Copenhague, s’intéresse également à ce qui se passe dans les espaces publics entre les habitations. Dans ses projets, le rôle principal est attribué aux éléments non planifiés et improvisés : les contacts spontanés et les flux de déplacement. Il aimerait concevoir des villes pour la population ; le facteur humain est essentiel à ses yeux. Son idéal est une ville méditerranéenne, historique et dotée d’une atmosphère de bon voisinage, à l’opposé des villes-dortoirs maussades de l’époque moderne, destinées avant tout à être fonctionnelles.

    Ses maximes sont : ralentissement, accessibilité piétonne, proportions et espaces verts. Après avoir transformé avec succès Copenhague en une ville piétonne et cycliste dans les années 70, son bureau conseille aujourd’hui des villes telles que Londres et New York. Un exemple de ses accomplissements parmi tant d’autres : Times Square, qui est redevenue une place digne de ce nom, sur laquelle les gens aiment passer du temps, s’asseoir ou flâner.

  • Authenticité

    Les zones de nouvelles constructions ne peuvent cependant pas offrir une chose dont seules les structures qui ont évolué peuvent disposer : la patine. La destruction visible des traces laissées par les habitants et par l’histoire. La patine est une matérialisation du temps et la mémoire visible d’une ville. Les surfaces qui s’érodent, changent de couleur, s’usent ou qui ont été abîmées. Si l’on considère les façades comme la peau d’une ville, alors la patine est comparable aux rides de sourire, aux cicatrices ou aux grains de beauté. Elles montrent l’âge, la maturité, le caractère et aussi la fragilité. Que ce soit la suie sur les façades, les toitures en cuivre oxydées ou les graffitis : ils donnent un visage humain, une atmosphère humaine à la ville.

    La patine manquante est également ce qui distingue une architecture historique d’une architecture historisante, c’est-à-dire des répliques contemporaines de l’architecture historique. Exemple : le très controversé château de Berlin. L’absence d’authenticité, le manque de concordance entre être et paraître, ont alors un impact sur la façon dont l’atmosphère est ressentie. Définir si un événement authentique dispose d’une dimension historique dépend néanmoins de l’œil avisé de l’observateur ou tout simplement de sa propre volonté. 

     Ainsi, certains touristes ne sont guère dérangés par la présence de grues portuaires fraîchement rénovées, bien placées au cœur des nouvelles zones portuaires, mais totalement inutilisées de nos jours. Celles-ci ont généralement pour seule fonction de mettre en scène une atmosphère maritime évoquant une vie portuaire passée.

  • Hymne

    L’interaction et l’occurrence répétitive de toutes ces sensations, impressions et processus sociaux, confèrent souvent un rythme particulier à la ville. Une sorte de « particularité », qui la rend très spéciale et donc comparable à d’autres villes. Et comme chaque ville a son propre rythme, elle a aussi son propre hymne officiel ou plus souvent officieux. Au Ruhrstadion de Bochum, lorsque l’équipe de football locale joue à domicile, des dizaines de milliers de supporters de football chantent à pleins poumons la chanson « Bochum » d’Herbert Grönemeyer : 

    DU BIST KEINE SCHÖNHEIT    I   VOR ARBEIT GANZ GRAU   I   LIEBST DICH OHNE SCHMINKE

    BIST NE EHRLICHE HAUT   I   LEIDER TOTAL VERBAUT    I   ABER GERADE DAS MACHT DICH AUS

     

    TU N’ES PAS UNE BEAUTÉ       I   TOUTE GRISE DE TRAVAIL   I   TU AIMES ÊTRE SANS MAQUILLAGE

    TU ES UNE PEAU HONNÊTE   I   BIEN QUE TOUT À FAIT ABÎMÉE    I   MAIS C’EST CE QU’ON AIME EN TOI  

    Difficile de retranscrire l’atmosphère de la ville de manière plus lyrique. Et cette célébration rituelle, le fait de chanter tous ensemble, ne permet pas seulement de renforcer l’image linguistique de cette atmosphère toute particulière qui règne dans la ville. Elle permet également de la transporter et de la faire voyager vers le monde extérieur.

    Particularité est synonyme d’authenticité. Elle permet de se créer une identité en se différenciant des autres. Et c’est aussi pour cette raison qu’une même scène se répète chaque année lors du concert annuel de fin de saison de l’Orchestre philharmonique de Berlin. En effet, lorsque le chef d’orchestre lève sa baguette pour le grand final, les 20 000 visiteurs chantent avec enthousiasme : « C’est l’air, l’air, l’air de Berlin… ! ».

     

     

     

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